Une réalisatrice se confie sur sa thyroïdite d’Hashimoto au cours d’une journée d’écriture chez elle, en Alsace. Son introspection la mène à se questionner sur le lien entre les polluants environnementaux et sa maladie auto-immune. Autour d’elle, le climat perturbé par la pollution donne des signes de la raréfaction de la ressource en eau douce. Tout comme son corps, l’Humanité s’auto-détruit.